La présentation de la statue équestre dans l'environnement du chantier reste un joli moment. En mettant en parallèle le cube de béton cellulaire présenté actuellement aux galeries Poirel, on pourra s'interroger sur le paradoxe à présenter avec emphase des éléments de construction bruts, dans un lieu d'exposition et inversement, à présenter un élément de patrimoine dans un chantier ouvert à tous les vents.
Notre maire arrive à son tour sur le champ de l'art contemporain et les jeunes artistes vont avoir du souci pour se faire remarquer s'ils n'utilisent que l'allégorie ou la métaphore comme production.
Si cette présentation a vraiment eu lieu cela représente une faute très grave de la part du directeur du Musée qui conserve cette maquette du XVIIe siècle.
RépondreSupprimerfaute très grave
RépondreSupprimeroh vous croyez !
rendre service à un ami serait il une faute ? !
très grave qui plus est !
bon ok je vous le concède sortir une pièce de musée et la mettre dans un hall d'immeuble en déconstruction reconstruction , avec courants d'air (au risque de lui faire prendre froid LOL ) n'est pas du point de vue déontologie une bonne idée ,
Le risque de la fracasser lors des manipulations ou de la voir abimée par de dangereux fauteurs de trouble (nous avons même vu de nos yeux vu ! Daniel Denise prendre des photos presque à la toucher !!)
Mais ne fallait il pas ce choc pour bien ancrer dans la tête des Nancéiens le fait que ce Charles 3 stagnera sur la place du marché ceci bon grès mal grès !
Ouf, de vos yeux vus.
RépondreSupprimerC'est mieux que par ouïe dire !
Quant aux fauteurs de troubles, ils peuvent s'approcher tout autant de l'objet au Musée Lorrain.
Pour ce qui est de juger la faute, mon juriste est actuellement en panne et mon avocat en week-end dans son chalet à Gstaad.